Leena C. Andrews.
▌Messages : 12 ▌Points de réputation : 1 ▌My drug is : my work, my cats and dogs ♥ ▌Quartier résidentiel : Cherry Street ▌Date d'inscription : 31/03/2010
Hollywood Life ▌Métier : Actrice Sweet about me ! : Emploi du temps :
| Sujet: Leena • I love the way she makes me drool Mer 31 Mar - 23:07 | |
| Actrice
• Feat Ashley Greene
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Carte d'indentité s'il vous plait !.......
. - ÂGE : 22 ans - SITUATION : Célibataire - CARACTERE - Libertine - Caractérielle - Jalouse - Bornée - Passionnée - Écologique - A HOLLYWOOD DEPUIS : 2 ans - METIER : Actrice
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This is my story
- Alors, Lena, dites-moi... - Leena. Liiiiina. Prononcez-le correctement, au moins, cela me donnera l'impression de ne pas perdre mon temps ! - Excusez-moi, mademoiselle Andrews. Ainsi, vous êtes actuellement en promotion pour votre film, Family Issues, qui parle des relations d'une mère de famille et de ses enfants. Qu'en est-il de votre propre famille ? La jeune femme fit une moue agacée, gesticulant nerveusement sur son fauteuil. Les histoires ne famille n'avaient jamais vraiment été son fort, à vrai dire. Bien au contraire, d'ailleurs. Elle ne pouvait pas vraiment dire qu'elle avait eu une enfance malheureuse, en fait. Pas de parent décédé, moins encore de mère battue ou elle ne savait quel destin atroce que l'on pouvait parfois lire dans les journaux. Mais ce n'était pas pour autant qu'elle avait eu une enfance heureuse pour autant. Elle était assez contente de sa vie, pour une gamine. Après tout, de quoi peut-on se plaindre, lors que nos parents ont des revenus plus que correctes ? Elle jouissait de nombreux jouets, toujours à la pointe de la technologie, toujours la première de sa classe à avoir la dernière poupée à la mode ou le jeu vidéo faisant baver d'envie les garçons. Mais là s'arrêtait son petit bonheur, en fait.
- Disons que, contrairement à mon personnage qui est une vraie mère poule, très protectrice, mes parents n'était pas vraiment des plus attentionnés... - Ils sont à la tête d'une société de cosmétique, c'est bien cela ? - Tuer des baleines pour maquiller des thons, oui. - Il est dit que vous avez refuser d'être leur effigie, est-ce exact ? - Leur entreprise va à l'encontre de mon mode de vie et de mes convictions, diront-nous. A vrai dire, Leena avait très tôt adapté ses convictions pour aller à l'encontre de l'entreprise de ses parents, et non l'inverse. Ne supportant plus que ses parents accordent plus d'importance à leurs rouges à lèvres qu'à leur fille, elle s'était bien vite rebellée contre eux, durant l'adolescence. Cela était bien beau, de lui donner tout ce qu'elle voulait pour compenser le manque d'affection parentale. Mais, alors que les années passaient, cela ne suffisait plus à la jeune fille, qui ne tarda pas à le montrer, du mieux qu'elle le pouvait. Les choses commencèrent doucement, alors qu'elle apprit lors d'une discussion que tenait son père, lors d'un repas avec des collègues. C'est ainsi qu'elle apprit que l'entreprise n'hésitait pas à utiliser de la graisse animale pour savons et autres produits, tout comme ils n'hésitaient pas à tester les dit-produits sur des animaux. Il n'en fallut pas plus à Leena pour devenir végétarienne, défendeur de la cause animale. Et ce ne fut que le commencement. Si son soudain changement de régime alimentaire fut interprété comme une lubie adolescente, le comportement de Leena continua de se dégrader, à vue d'œil. Elle pourtant enfant modèle, calme et polie, changea du tout en tout en l'espace de quelques mois, devenant une véritable peste. Garce aurait d'ailleurs mieux convenu mais sa mère lui préférait le premier terme lors de leur disputes quant au dit comportement. Leena aimait à provoquer ses parents, toujours un peu plus. Du paquet de cigarettes trainant sur le bar de cuisine aux cours séchés à tout va, elle aurait pu rapidement devenir ingérable. S'il y avait eu quelqu'un pour la gérer, en fait. Mais ses parents ne remarquaient rien ou presque, se contentant de remarques - terminant toujours en disputes - sur ses résultats scolaires en baisse.
- Vos convictions, parlons-en. Certaines mauvaises langues disent de vous qu'il ne s'agit là que d'une mascarade pour contrer votre réputation sulfureuse. Qu'avez-vous à répondre ? - Pourquoi les deux seraient forcément contradictoires ? Tant l'un que l'autre font partie de mon caractère, de ce que je suis. Je n'ai pas besoin d'adopter la moitié de l'Afrique pour montrer que j'aide les plus démunis, vous voyez ? - Très bien. Revenons-en à la famille, voulez-vous ? Petite New-Yorkaise débarquée du jour au lendemain, comment avez-vous vécu votre arrivée dans la ville du cinéma ? A dix-huit ans, majorité accordée, elle avait finalement craqué. Malgré la place de choix que lui offraient les plus grandes universités du pays, de par son nom, bien entendu, elle ne s'inscrivit dans aucune d'elle. Le pire,d ans tout cela, fut sans doute que ses parents ne s'en rendirent même pas compte, alors que la rentrée de septembre avançait à grands pas. Ce fut lors d'un diner, un soir de semaine, que l'orage que Leena avait retenu durant tant d'années éclata, avec fracas, sur ses parents. Elle n'arrivait à se souvenir comment tout cela avait commencé. Une remarque ou un simple regard de trop, sans doute, avait suffit pour qu'elle vide son sac, à grand renforts de cris, de hurlements et de de larmes de colère. Le lendemain, elle faisait ses valises, bien décidée à partir pour Los Angeles et Hollywood, guidée par son seul espoir de se construire meilleure vie que ce qu'elle avait. Ce qui, au final, ne lui semblait pas si difficile que cela.
CE QUE J'AI DÉJÀ RÉALISÉ A HOLLYWOOD
- Mon succès ? Je ne le dois qu'à moi-même. Moi, seulement moi, personne d'autre. On ne croyait pas en moins, on m'a tourné le dos. Regardez-les, ils s'en mordent les doigts, maintenant ! En effet, lorsqu'elle était arrivée à Hollywood, jeune et inexpérimentée, personne n'aurait parié le moindre dollar sur la belle. Les premiers mois à Los Angeles furent difficiles pour elle, obligée de trouver plusieurs petits boulots, entre lesquels elle enchainait les auditions. Publicités, doublage de dessins animés, figuration... Tout était bon pour elle, tant qu'elle arrivait à s'imposer dans le milieu, petit à petit. Vivant dans un appartement miteux des mauvais quartiers, elle préférait utiliser son argent dans des cours de comédie plutôt que dans son loyer. Et cela paya, bien entendu. Ne baissant jamais les bras malgré les nombreux refus, Leena hurla littéralement de bonheur lorsqu'un producteur la recontacta pour lui proposer un petit rôle secondaire dans une série télévisée à succès. Ce fut le début d'une longue carrière pour elle, son personnage prenant de plus en plus d'importance dans la série alors qu'elle-même en prenant de plus en plus dans le monde des acteurs. Il n'en fallut pas plus pour que l'on lui propose le rôle principal d'un film. Et c'est ainsi que Leena Chris Andrews devint célèbre.
Depuis maintenant quatre ans qu'elle habite L.A., la petite newbie a bien grandi. Son caractère de peste ne l'a pas lâchée, mais l'on dit que cela fait partie de son charme et, après quelques films ayant plus que bien marché, les productions se l'arrachent. Pourtant, les conflits avec certains réalisateurs sur les tournages ne sont pas rares, moins encore les délires de snobisme et d'égoïsme dont elle peut faire preuve à tout moment. D'après elle, si elle en est arrivée là, elle ne le doit qu'à elle-même et elle n'hésite pas à descendre en flèche quiconque se mettra en travers de son chemin. Parallèlement à cela, elle garde ses convictions gagnées lors de l'adolescence. Ainsi, malgré son sale caractère, elle est une véritable végétarienne, n'acceptant de voyager qu'avec des transports écologiques et peu polluants. Elle a d'ailleurs déjà refusé un contrat pour un film en Angleterre, malgré un cachet bien gonflé, car il fallait prendre l'avion pour s'y rendre, et que cela était bien trop polluant à son goût. Et oui, chacun son truc. Elle ne se cache pas de reverser une part de son salaire à diverses associations et a déjà posé pour une campagne afin de valoriser l'adoption des animaux en refuge. Tout cela pour compenser son mauvais caractère, peut être ?
And you ! Who are you ?
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. - ÂGE : 18 ans - PAYS/REGION : France, de ch'Nord (aa) - FREQUENCE DE CONNEXION : 7/7 si tout va bien. - SUR DES FORUMS RPG DEPUIS : 2 ans - EXPERIENCE :
- Spoiler:
Une journée de plus, et on n’était même pas samedi. Farniente absolue jusqu’au soir, donc. Que la vie pouvait être agréable, lorsque l’on n’avait pas besoin de travailler huit heures par jour. Surtout lorsque, dans le cas de Lexia, on travaillait moins pour gagner bien plus que la moyenne. Cela avait quelque chose d’injuste, bien entendu. Mais elle ne s’en serait jamais plainte pour autant, bien entendu. Après tout, lorsque l’on pouvait faire la grasse matinée contre son fiancé chaque matin, on pouvait tout à fait dire que la vie était belle. C’est ainsi que, comme souvent, elle se réveilla alors qu’il jouait avec les mèches de ses cheveux, encore à moitié endormi. Grognant légèrement – elle n’aurait pas dit non à quelques heures de sommeil en plus, après tout –, elle se retourna pour s’installer sur son torse, luttant pour se rendormir. Sans succès, bien évidement, ce qui lui attira un nouveau grognement de frustration. Oui, Lexia n’était pas du matin, ce n’était pas nouveau. Au bout d’un certain temps, cependant, le chien sembla décider qu’il était plus que l’heure de se lever. Sautant sur le matelas pour aller joyeusement lécher la joue de sa maitresse, bien entendu, qui soupira cette fois, en tentant de le repousser, sans succès. Pourquoi diable fallait-il que l’un d’eux oublier toujours de fermer convenablement la porte en allant se coucher ? Devant les bisous canins qui redoublaient d’ardeur, elle finit par se relever, jalouse d’Apollon, toujours endormi. Un train aurait pu foncer dans la maison qu’il n’aurait sans doute pas bougé d’une oreille, d’ailleurs. Chanceux.
Prenant son chien sous le bras, Lexia sortit donc du lit, puis de la chambre, pour descendre doucement les escaliers jusqu’à la cuisine, bien décidée à se préparer une tasse de café brûlante. La journée de la veille avait été des plus difficiles. Enfin, la nuit l’avait été, du moins. Quelle idée, aussi, d’aller inaugurer comme il se devait la nouvelle boite de nuit du quartier, qui avait ouvert ses portes le soir même. Certes, cela signifiait avoir la carré VIP pour eux dès le premier soir. Mais cela signifiait aussi se coucher tard. Très tard. Elle préférait d’ailleurs ne pas croiser de miroir pour l’instant. Elle imaginait déjà assez bien comme cela les larges cernes violettes qui devaient décorer ses yeux, nul besoin de les admirer encore en plus. Simple question de principes. S’installant à la petite table de la cuisine, elle se contenta donc d’avaler son café du bout des lèvres, luttant contre le mal de tête. A chaque fois, elle se disait la même chose, que c’était la dernière fois, qu’elle ne boirait plus après cela. Et, à chaque nouvelle soirée, elle finissait ivre avec une magnifique gueule de bois le lendemain matin. Classique.
La journée passa donc avec lenteur, sans aucune activité particulière, si ce n’était de s’allonger devant la télévision après avoir lancer un film de Hugh Grant. Bol de pop corn cuit au micro-onde et bouteille de coca en option obligatoire, bien entendu. De toute façon, une virée shopping avec Joylee était prévu le lendemain, elle aurait tout le temps de perdre les calories qu’elle allait avaler ce jour là. Elle pouvait donc se permettre quelques excès sans aucun remord pour sa silhouette de mannequin. A l’étage, elle entendait le son des cordes de guitare, alors qu’Apollon s’entrainait ou écrivait une quelconque nouvelle chanson. Parfois, la musique s’arrêtait, elle pouvait alors presque l’entendre râler parce qu’il ne trouvait pas le bon accord, la bonne note, ce qui la faisait sourire avant de se concentrer à nouveau sur son film. Une journée habituelle pour eux, en quelques sortes. Rapide repas composé de pizzas – pour continuer dans la diététique – avant de reprendre leurs activités, Lexia troquant sa télévision pour son ordinateur. Officiellement, pour continuer l’écriture d’un roman qu’elle avait commencé depuis quelques semaines. Officieusement, pour aller sur divers blogs et lire les dernières annonces croustillantes sur les stars américaines. Tiens, Jude Law tournait une pub pour Dior. Cela devait d’ailleurs être la seule chose intéressante sur le site ce jour-là. Elle allait d’ailleurs le fermer, pour vérifier ses mails, lorsque l’on frappa à la porte. Surprise, elle hésita quelques instants, avant d’élever la voix.
- T’attends quelqu’un ?
Réponse négative de la part de son cher et tendre. Léger soupir alors qu’elle se levait pour se diriger jusqu’à la porte d’entrée. S’ils n’attendaient aucune visite ce jour-là, cela ne devait être qu’un vendeur à domicile prêt à tout pour lui vendre un aspirateur ou des quelconques produits de beauté. Non, mieux encore, deux crétins de témoins de Jéhovah, costume noir de rigueur, prêts à tout pour les joindre à leur cause. Bref, dans tous les cas, Lexia saurait les accueillir comme il se devait. Ainsi, lorsqu’elle ouvrit la porte, elle ne s’attendit pas du tout à… Cela. S’efforçant de ne pas ouvrir la bouche de stupéfaction, elle cligna trois fois des yeux, surprise. Depuis quand un mec taillé comme un mannequin s’invitait chez eux, comme ça, pour le plaisir ? Pourquoi pas, après tout. Elle le détailla de bas en haut, alors que lui-même semblait surpris, comme s’il s’attendait à voir quelqu’un d’autre, main posée sur la poignée.
- Hum… Oui ?
Au moins, elle était certaine qu’il n’allait rien lui vendre. Et pas uniquement parce qu’il portait un costume hors de prix. Sans doute du Chanel. Parce qu’un vendeur lui aurait sorti son blabla commercial, à peine la porte entrouverte. Là, rien, juste deux personnes l’une en face de l’autre, se demandant qui pouvait bien être l’autre, justement. Dans un soupir, Lexia s’adossa à l’embrassure de la porte, bras croisés.
- Bon, j’ai au moins le droit de savoir qui vous êtes et ce que vous me voulez ? - OU AS-TU CONNU D.O.F. ? : PRD - UN DERNIER MOT ? : Ratatouille.
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Dernière édition par Leena C. Andrews. le Jeu 1 Avr - 8:43, édité 9 fois |
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